I. LE PERSONNAGE.
• NOM : Nohmas
• PRÉNOM : Maëlys
• SURNOM : Elec, pikachu et j'en passe ! Tout ce qui est en rapport à l'électricité.
• GENRE : Fille
• ÂGE : 14 ans
• ORIGINE : Johto
• MÉTIER PRINCIPAL : Collectionneuse
• MÉTIER SECONDAIRE : Aucun
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro
• QUALITÉS (5 mini) : Gentille, affectueuse, intelligente, fofolle (donc amusante) et curieuse de tout et... rien.
• DÉFAUTS (5 mini) : Aimer énerver son monde, comme son très cher frère, très énergique même trop, bonne a rien... mais noooon. D'une discrétion incomparable ! La discrétion d'un troupeau d'éléphants vous voyez ! Ultra sensible. S'énerve pas assez vite... C'est ironique bien sûr.
• AVATAR : Sara de Granblue Fantasy
II. L'HISTOIRE.
Un arrachement. «Je ne t'aimes pas.» Je secouais ma chevelure couleur de flammes avec rage. Je préférais tout de même cacher mon visage inondé de larmes que j'avais retenu trop longtemps. La haineuse colère avait bercer tant de fois l'amour que je ne pouvais ignorer. Amour que je portais pour Zen, mon frère. Même si il était dur pour nous deux de se l'avouer. Jamais nos bras s'étaient entrecroiser pour une série de câlins que des frères et sœurs normaux n'auraient oublier. Jamais mes lèvres rosés avait toucher sa joue si froide et en même temps, si chaude. Jamais un «Je t'aime frangin.» avait franchi le seuil de mes lèvres pour aller heurter son cœur de pleins fouet. Les seuls mots qu'on s'était échanger était des «Qu'est ce que tu me veux encore? Qu'est ce que tu fais là? Tu pourrais pas me laisser un peu?» Et encore, les «Je te détestes, dégage!» Était les premiers mots que l'on avait échanger. Il n'y a pas si longtemps que ça,on dormait dans la même chambre. Je ne vous expliques pas le bordel…. Une haine intense vibrant dans une pièce ou nos deux lits arrivaient a peine a rentrer. Les cris de rage avait briser le silence qui régnait dans la maison quand le restaurant n'était pas pleins. On s'était couru après en menaçant de nos petites mains l'autre quand il essayait d'approcher. Nos parents, lasser de ses disputes incessante, avait pris l'excellente initiative de nous séparer. Et, en ce moment même, alors que quelques semaines plus tôt, la seule chose à laquelle je pensais était de lui faire la peau, je fondais en larmes devant lui. Et,comme à son habitude, il y resta de marbres. Il préféra se détourner, faisant valser ses cheveux neigeux. Je le suivis, il était tellement plongé dans son état de transe rageuse qu'il ne se rendit pas compte que je le suivais. Pourtant, la discrétion, ce n'était pas mon truc. J'étais aussi discrète que si un troupeau d'éléphants était en train de le pourchasser, menaçant de l'écraser à chacun de leurs pas, par ailleurs. Ses pas nous menèrent à la montagne. Mes larmes brouillaient ma vue, je ne vis donc pas le rocher qui se plantait majestueusement en pleins milieu du sentier devant moi. Mais quand je dis devant moi, c'est devant moi. Pas un peu à droite ou un peu à gauche. Non non, devant moi. Je trébuchais dessus et commençait ma descente dans le vide. J’eus le temps de hurler, d'une voix où perçait ma peur et mon angoisse le nom de mon frère. La peur resserra son étreinte autour de mon peu de sang froid. Je cédais très vite à la panique. Si il m'avait entendu, il y avait peu de chances qu'il vienne à ma rescousse. Peut être me regarderait il sombrer dans le vide en souriant bêtement. La mort de ma sœur jumelle! Chouette j'ai hâte!Mes sanglots redoublèrent d’intensité alors que je sentais des bras fins se serrer autour de ma taille. Je cachais mon visage dans mes petits mains alors que je sentais que je remontais à contre sens. Peu de chance que ce soit Zen. Il devait être en train d'écumer de colère car je n'avais rien. Et à mon plus grand soulagement, je n'eus rien à part quelques égratignures. Je m'empressais de me mettre près du bord pour m’enquis de qui était mon sauveur et surtout, si il était blesser. Un mot jailli de mes lèvres:
-ZEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je dégringolais la pente en faisant attention de ne pas percuter un rocher qui me mettrait dans le même état que mon frère. Une fois près de celui ci, ma main se porta à sa joue alors que l'autre s'occupait du corps. Je cachais mon visage dans ses vêtements en gémissant son prénom. Mes sentiments explosèrent. Mes larmes s'écoulèrent en flot soutenu. Je n'arriverais jamais à le remonter. Et monsieur avait choisi un des endroits les moins côtoyer de la montagne bien sûr. Je devais attendre qu'il se réveille.
-Zen, s'il te plaît, réveille toi…. Gémis je de ma petite voix. Ma main caressa ses cheveux blancs avec toute la douceur dont j'étais capable. Je sentais mon rythme cardiaque s’accélérer alors que Zen commençait à s'agiter.
-Bienvenue parmi nous la belle au bois dormant... Dis je la voix entrecouper par des sanglots. Je n'osais pas encore lui dire «Merci». Cet unique mot… Plus dur à dire que tout ce que je pouvais lui dire en ce moment même. Je voulais le rassurer. Je voulais me rassurer. Peu de gens passaient par là… Et je n'étais même pas sur qu'il pouvait se lever. Je me décidais enfin.
-Merci Zen… Deux mots. Qui glissèrent dans son oreille, murmure que je lui offris. Je séchais mes larmes du dos de la main. On avait que trois ans! Et cette aventure resterait graver dans mon cœur tout le long de ma misérable vie. Pour la première fois, un véritable sourire se dessina sur mon visage. Le douceur peigna mes traits raffiné. Mes yeux glaces prirent des allures amoureuse.
-Tu penses que tu pourrais essayer de te lever? Vu la chute, tu dois avoir un truc de pas net dans le corps…Mais quoi…. A trois ans, figure toi que j'en sais rien…. Je suis douée quand même, je tombe sur un caillou qui est pile devant mon nez et j'arrive même à blesser mon frère sans le vouloir! Si j'avais voulu j'aurais pas pu!
(Voir présentation de Zen Nohmas pour la réponse.)
Mon frère, la tête posé contre mon épaule sombrait dans un sommeil agité. Mon regard glacé le scrutait, chaque membre, chaque détail qui m'avait échapper au long de ces moments de bagarre continuel. Si proche et si éloigné. Si jeune et si mature. Si différent et si identique. Ma main commençait à blanchir sous la pression que mon frère exerçait. Et bizarrement, cette pression ne me rassurait pas du tout. La douleur devait lui tordre le bras, lui arracher le cœur. Rien que son souffle rauque et lent m'inquiétait. L'inquiétude remplaça l'euphorie que mon frère avait installé quand la phrase «J't'aime» avait franchit le palier de sa bouche. Deux mots qui m'avait toucher de pleins fouet. Un cadeau que jamais je n'oublierais. Ses cheveux blancs resplendissaient, même à la lueur des néons. Lueur artificiel que je détestais. Le contact de sa main si froide me réchauffait au plus profond de mon être. Ne serais ce que j'avais douté de l'amour qu'il me portait… Je pensais qu'il allait savourer chaque instant de cette douloureuse et longue chute...Mais à la place de ça,il s'était jeté à corps perdu pour que ma vie en soit sauver. Je pensais tellement….Et pendant ce temps, il avait agi, poussé par un sentiment fraternel qu'on l'ont ignorais tout les deux. J'ignorais ces sentiments si différent les uns des autres pour observer chaque mouvement de Zen. Un cauchemars devait hanter son esprit vu les gémissements qu'il tirait. La porte claqua. Je reconnus la douceur réputé dans le village de mon père. Le stress commença à se montrer, plus convainquant que jamais. Mon visage, dont les yeux était encore mouillé de larmes, allait les inquiéter. Mais, bizarrement, je pense que le fait que mon frère soit contre moi, me serrant la main et que, celle que j'avais encore de libre caressait ses cheveux d'un geste affectueux, allait les inquiéter plus qu'autre chose. Mon père fit son entrée dans le grand salon. Interloqué, il resta à l'entrée, la bouche en cul de poule. Esteban, car c'était son prénom, finit par s'avancer alors que ma mère, Célia, entrait dans la pièce d'une démarche gracieuse et assurée. Je me blottis un peu plus contre Zen, de peur qu'on me l'arrache. Je pense qu'un animal aurait montré les crocs et sorti les griffes si il avait été dans mon état. C'est MON frère. Et jamais plus on me l’enlèvera.
«-Que c'est il passé?»Tonna mon père de sa voix masculine. Si le tonnerre avait eu une voix, ça aurait été elle, sans aucun doute.
«-Laisse la, elle est chamboulée. Tu le vois bien?» Dis Célia de sa douce voix habituel. Lassée des gémissements incessant de Zen, je commençais à le secouer. Mon visage se cacha dans les vêtements de mon frère quand je le serrai dans mes bras fin et maladroit. C'était ma faute… ET SI IL MOURAIT! Le problème, c'est que plus j'y réfléchis, plus je me rendais compte qu'il y a encore quelque mois, j'aurais presque été enthousiasmer à cette idée. Et là, j'étais à la limite de grogner sur mes parents quand ils osaient juste s'approcher de lui…
«-C'est ma faute, j'ai été maladroite et bigleuse… Et je suis tombée et ensuite bah il est tombé aussi mais du coup moi je ne suis pas tombée.» Déclarais je en cédant à la panique. Mon sang froid était en train de se faire dévorer. Je me retournais quand je senti la main de Zen lâcher la mienne. Mes yeux glacés rencontrèrent les siens, si magique, océans dans lequel je me plongeais et me délectais. Je lui souris timidement. Il avait sûrement entendu mon long discours incompréhensible.
«-Moi aussi Zen...» Répondis je à sa déclaration de tout à l'heure. Nos sentiments s'entrechoquèrent, se mêlèrent, pour se fondre en une seule et même personne. Zen, ce frère que j'avais haïs trois ans, je le comprenais, l'appréciait enfin à sa juste valeur. Je ne le voyais plus pareil. On faisait qu'un. Mon regard fut attirés par son bras. Aucune blessure visible, et une douleur si intense. Je le sentais au fond de mon être, et j'étais persuadée qu'il allait pas mourir. L'amour, sentiment traître que je connaissais à présent. Sentiments que je portais pour le petit garçon qui se tenait à côté de moi. Je bondis du canapé pour aller me fondre dans les bras de mes parents. Je glissais dans le creux de l'oreille de ma mère:
«-Zen a bobo.» Je n'étais pas sûr qu'il allait pouvoir juste expliquer ses ressentis. Chamboulé… Il avait l'air chamboulé… Même si, comme à son habitude, il restait de marbre. Je me demanderais toujours comment il fait. Je me détachais de l'emprise affectueuse que Célia exerçait sur moi pour retourner près de Zen. Je fis une pirouette pour atterrir vers le canapé.Bien que je manquai de me scratcher lamentablement contre le coussin. Je me redressais et me plantai devant mon jumeau.
«- Je suis la fille la moins doué que le monde ai jamais connu.» Déclarais je en hochant la tête rapidement. Tellement de chose qui nous différenciait et nous rapprochait. J'étais totalement fofolle et lui aussi soit. Il aimait s'attirer des ennuis et moi aussi. Bien que je sois plus calme que lui. Un tout petit peu! Vraiment pas beaucoup. «Un grain de bravoure pour trois grains de folies.» Avait dit le vieux monsieur (un peu moche) dans le film que j'avais regardé en douce. (Maman avait dit que c'était pas de mon âge, je confirme. J'en ai cauchemarder pendant cinq jours. Même que Zen avait cru qu'il allait m'arracher la tête tellement je hurlais et gémissait dans mon sommeil.)
«-T'as mal où franginounet d'amour????????????» Dis je d'une petite voix mielleuse.
(Réponse prezz de Zen)
Je regardais chaque détail que le visage illuminé de mon frère m'offrait. Sa joie de vivre m'aidait à avancer, à ne plus penser à toutes ces années passer à se disputer, se battre, prouver que l'on savait être énervant. On s'était bien fait la voix avec Zen remarquer. Je caressais, pensive, la femelle Evoli endormit au creux de mes bras. Assise en tailleurs, mon regard fixait la couverture. Je sentais le stress de mon frère grandir. Ce néon allait nous rendre totalement fou!Autant l'un que l'autre.
«- Destinée… Je vais l'appeler Destinée…» Dis je d'une voix entrecouper par ce sentiment traître qu'était le stress. Zen ne m'aidait pas là dessus. Il devenait «bargo»comme il l'avait si bien dit. Je plaquai mon regard dans le sien. Ma main se tendit vers ses yeux et je le forçai à les fermer. Je rampais jusqu'à lui et je commencais à murmurer:
«-Calme toi Zen. Ferme les yeux et calme toi. M'entends tu? Non ne répond pas frangin. Me sens tu? Oui je suis là… Et je serais toujours là pour toi.» Je m'étais calmée un peu. Je me retenais de pleurer ma joie. De pleurer chaque sentiments que je connaissais dès à présent. Chaque sentiment que cet être que j'aimais m'inspirait. Je savourais chaque seconde passé avec lui, à l'observer en train de savourer mes paroles, paroles qui était tout sauf des paroles mise en l'air. Destinée glapit dans son sommeil. Petit bruit qui me tira un: «C'est trop CHOUPINOUUUUUUUUUUUUUUUUU!!!!!!» Cherchez pas, je m'extasie sur un rien. Je posai ma tête sur le rebord du petit lit, sondant les pensées du petit Pokémon. Pour l'instant, j'étais sur d'une chose. Il dormait.Je n'avais pas remarquer que Zen avait ouvert ses yeux. Zen avait l'air… ZEN! Sans vouloir changer de sujet, je sors de suite. Quelle joie de sortir des blagues à la noix de coco qui sorte tout droit de Tahiti. J'hochais la tête à cette pensée plus qu'amusante. Je devais le sortir.
«- Frangin, tu as l'air zen!» M'exclamais je en m'auto applaudissant. Enfin en essayant. Je ne voulais pas réveiller Destinée. Et encore moins dérangé le calme qui avait l'air d'avoir envahi mon jumeau.J'étais géniale! Je me mis à faire des bisous dans le vide. Comme si je saluais un public. Public invisible. Comme le film que j'étais en train de me créer. Ce que j'aurais aimé avoir des pouvoirs pour pouvoir guérir Zen et qu'il sorte de cet enfer dans lequel JE l'avais plongé.
(Pareille, oui je vous donne le lien mais a la fin na !)
Un vide. Une souffrance que je n'avais pas dîtes. Même si les éternuements que j'avais émis souvent avait détromper le fait que j'allais bien. J'avais sorti des bêtises comme:« Mon allergie au pollen...» Du pollen en octobre… Oui bien sûr!!!! Et je suis la reine d'Angleterre dansant la macarena avec François Hollande en string sur la place de Tahiti. Petite précision: François danse la madison lui. Je sentais la prise des bras de mon frère me serrer contre son cœur. J'entendais son cœur battre dans un son régulier et calme. De la transpiration perlait sur mon visage, s'écoulait jusqu'à mon cou et trempait mon petit T-Shirt blanc rosé portant un Evoli souriant comme graphisme. Ce que j'étais fière de ce haut… Même si je flottais dedans J'EN AI RIEN A PÊTER!!!!!! J'aurais voulu ouvrir mes yeux, faire cesser les sanglots apeurer de Zen. Rassurer la crainte qui dévorait son âme jusqu'à la détruire. Mais, même ça, c'était trop demandé. Des odeurs difformes se mélangeait. Je reconnus sans mal celle du garçon. Je tremblais comme une feuille, malgré le fait que la chaleur m'était insupportable. Si tenace… Si maléfique… Si désagréable… Et la chaleur qu'émanait le câlin de Zen si agréable! Rassurante au plus haut des points. J'étais consciente. Consciente de tout ce qui se passait autour de moi. J'étais même sur de retrouver les «néons maléfiques» comme on les appelaient avec mon frère. Consciente d'être consciente… Je tentais d'ouvrir les yeux. Je fus aveuglée par la lumière artificiel que l'ambulance propageait. Je crois que le pire, c'est que je n'entendais, mais alors, rien du tout! Bordel, Zen allait devenir fou… Quitter l'enfer lumineux appeler hôpital pour le retrouver LE JOUR DE NOTRE ANNIVERSAIRE! Quelle joie! Je suis sûr que son visage rayonnait tellement il était heureux de retrouver ce bâtiment habillé de blanc. Pour ma propre personne, je n'étais même pas sûr que je me rendrais vraiment compte de l'endroit où j'allais être transporter. Si la lumière commençait déjà à m'aveugler, je n'imaginais pas là bas. Une torture sans nom. La maladie serra son étau autour de mon corps, me faisant tousser.
*
J'ouvris les yeux, balayant du regard la petite pièce où mon corps se trouvait. Je plissais les yeux pour que cette sensation de brûlure quitte mes yeux, voilé par un drap brumeux. Je grimaçais en sentant que mes cheveux collait à mon crane, cause? La transpiration bien sûr! Que voulez vous que ça soit d'autre? Le premier qui sort de la sauce tomate, je lui envoie mon Evoli enrager dans la tronche ok? Pourquoi de la sauce tomate? Mais je vous en pose moi des questions? Mais je vais répondre tout de même. Figurez vous que je suis rousse! Mais la sauce tomate, c'est rouge! Vous m'énervez à la fin! Bref, retournons sur notre sujet principal. Je tournai légèrement la tête sur le côté, pour tenter d'apercevoir le visage familier et rassurant de mon frère. J'entre aperçus juste le médecin, discutant avec ma mère qui agitait la tête, l'air sombre.Mon père se tenait le bras et restait de marbre à chaque parole que l'homme en blanc annonçait. Je m'imaginais bien son discours: «Je suis désolé…. Votre fille est folle….» Pourquoi je dis ça?Vous vous rappelez du grand brun que j'avais aspergé lors de notre dernière visite?Et bah, c'est lui qui expliquait ce que j'avais aux deux adultes que j'aimais tant. Je ne pensais pas qu'il m'avait aperçus mais vous devez commencer à connaître ma discrétion! Je suis comparable a une baleine bleue qui aurait, par hasard, appris à vivre sur la terre et qui décidait de s'introduire dans une maison.Une baleine ça ne rentre pas dans une maison que vous dîtes? Justement, ça en rajoute au délire! C'est marrant comme mes pensées était clair par rapport au reste… Je gémis un mot. Un prénom. Trois lettres. Gravé dans mon cœur au fer rouge. Que jamais je n'oublierais.
«-Zen...» Murmure inaudible. Murmure qui tomba au sol sans que personne ne l'entende. Couper cette clime je vous en conjure! Je vais péter une durite avant la fin de mon séjour, je le sens bien venir. Malgré le fait que j'avais l'impression que mes membres ne répondait plus, je me sentais pas si mal que ça...Peut être était ce ça la vrai souffrance… Celle que l'on ne sent pas. Où que l'on sent mais qui reste enfuis au plus profond de votre être. Ces douleurs qui vous rongent, vous assommes, vous détruis de l'intérieur. Peut être devrais je lui parler de Nicolas… Ce garçon infâme qui me frappait, m'insultait tout les jours… La jalousie… Les parents de mon ennemi naturel avait refuser de lui céder son premier Pokémon. Alors que moi, Destinée me suivait, jour et nuit, nuit et jour. Son regard ambré illuminait mon chemin quand elle se trouvait à mes côté ce qui était la plus part du temps le cas. Sa fourrure brune me calmait, m'inspirait. M'inspirait la vie, inspirait la source de mes paroles. M'aider à avancer.Mais pas autant que Zen, ce garçon qui, à jamais, resterait à mes côtés même quand sa présence ne sera pas matériel.
Le médecin s'approcha de moi. Un faux sourire était peint sur ses lèvres gercés. Il me fixa de ses grands yeux brun et déclara:
«-Tu as une grippe. Mais une bonne ma petite»
*
Deux semaines plus tard, environ (j'avais perdu la notion du temps tellement je dormais) la lueur du soleil, cette astre lumineux, éclaboussa mes yeux alors que je sortais le pas traînant de chez moi. J'étais rentré deux jours plus tard que Sébastien (c'était le prénom du docteur) avait annoncé la nouvelle qui m'avait clouée au lit. Je souris, laissant la douce brise secoué ma chevelure rousse. Les mèches enflammé volèrent, s'entremêlèrent, se détachèrent les unes des autres. Zen me suivit rapidement, le même sourire débile que le mien plaqué sur la bouche. Mon teint avait retrouvé de ses couleurs. Mes joues était légèrement rosé et mes yeux brillaient d'un éclat que j'avais presque oublié. La santé. Ils brillaient! Je resplendissais. Mon haut turquoise m'était mes yeux en valeurs. Le pantacourt blanc n'allait plus le rester très longtemps. J'avais mis des gants roses juste pour le délire. A 37 degrés au soleil, c'était rare des gamines se promenant avec des gants bien rembourrés au main. La folie messieurs et mesdames. Maëlys Nohmas était atteins de folie extrême. Celle qui prouve qu'on va bien si vous voyez de quoi je parle. Esteban apparut au seuil de la maison, les clefs de la voiture. Il soupira, exaspéré et se traîna machinalement jusqu'à la voiture. On le suivi au pas de course. Je bondis dans mon rehausseur, très vite suivi de Zen.
*
Les vacances venaient de se finir quand un nouvel événement tragique arriva. Je m'amusais dans la classe avec mon amie: Jade. On collait des gomettes sur le dos des élèves concentré sur leurs travail. Arriva le tour de mon frère. Son regard fixait le néant. Ça devait faire une semaine que j'avais quitter l'hôpital. Son teint était pâle. Jade commença à s'approcher de lui, discrète pour une fois. Je la stoppai d'un signe de bras. Je m'asseyais à côté de lui.
«-Zen!Tu m'entends?» Il tourna légèrement la tête vers moi. La vision de son visage me glaça. Il s'effondra sur la table et je hurlais:
«- ZEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN! MAISTRESSE APPELEZ MES PARENTS ET LE 15!»On avait eu tellement d'embrouilles que je connaissais par cœur le numéro du samu. La classe non?
III. LES DESCRIPTIONS.
MORALEMaëlys Nohmas. Hyper calme. Tellement méchante et désagréable ! En plus, elle ne sourit JAMAIS ! Cette fille est tous sauf sympa effet. Mais non ! J'aime dire le contraire de la vérité ! Maëlys est une jeune fille qui a toujours un sourire dessiner sur ses lèvres. Peu soucieuce de ses gestes, maladroite et extrêmement pipelette. Maëlys est tous sauf une personne tranquille. Vous ai je dis qu'elle était humoristique? Même si ses blagues ne font rire qu'elle... Et son frère. En parlant de son frere... deux coeurs qui battent à l'unisson. En effet, Maëlys porte un amour tres puissant a son frère Zen. Deux enfants qui adorent s'attirer des ennuies. Tous ensemble ! Tous ensemble ! Aie aïe! Désolée... l'humour à la Maëlys qui prend le dessus. Vous pouvez voir en cette enfant une aimable personne, mais aussi un être mystérieux qui te fait prendre tes jambes a son cou. Elle est joyeuse naturellement, mais porte toujours en elle cette mélancolie due a la haine porté pour son frere lors de leurs enfances.
PHYSIQUEUne fille, petite, menue, et au teint pâle se tenait devant moi Une longue chevelure rousse flamboyait descendait jusqu'à le milieu de son dos. Son visage au trait raffiné, était dévoré par ses grands yeux bleues, telle la glace. Son nez, petit et droit. Ses joues, parsemée de petites tâches de rousseur. En parlant de ses joues, on dirait un petit hamster. Surtout quand elle pouffe. Une bouche fine et légèrement rosée. Sans vouloir vous paraître modeste, elle est plutôt mignonne. Fine, raffiné et agile. Vous serez surpris par ses petites mains, douces et... petites.. un de ses principaux atouts, ses ongles. Longs. Et clair. Enfin, quand elle ne les coupe pas bien sûr. Si vous voulez tous savoir, elle chausse du 38 ! Aussi, elle déteste s'habiller en couleur sombre. Et adore se bichonner les cheveux, mettre des chapeaux et j'en passe. .
IV. DERRIÈRE L'ECRAN.
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